Central African Republic (the): Logisticien de projet
COOPI en RCA
Depuis 1974 COOPI travaille en RCA pour un développement harmonieux et complet, en faveur tant des individus que des communautés locales. En ce qui concerne les secteurs d’intervention, l'engagement vis-à-vis des réalités locales a encouragé COOPI à établir des plans et à implémenter des projets de développement dans le domaine social, économique, sanitaire, environnemental et de la formation. Les situations de conflit ont amené à la décision de se faire charge de projets d'urgence et de réhabilitation, qui sont aujourd'hui devenus un autre secteur spécifique d’intervention dans le Pays. Grâce à la présence consolidée et constante, ainsi qu’aux relations avec les institutions, les organisations non gouvernementales et les communautés locales, COOPI est reconnue comme un des points de référence pour la coopération internationale en RCA.
Programme
Titre : Reconstruction des infrastructures sociales dans le nord et sud-est de la République Centrafricaine.
Secteur : Education/Santé/WASH/C4D, SIDA et Jeunesse
Objectif spécifique : Amener assistance humanitaire aux populations des Préfectures de l'Ouham Pendé, Haute Kotto et Haute Mbomou, à travers la reconstruction des infrastructures sociales en soutien aux systèmes educative, sanitaire, de distrubution d'eau et gerance/planification communautaire
Bénéficiaires directs : Bénéficiaires directs : 2.952
Bénéficiaires indirects : Les communautés habitant les zones autour des infrastructures construites dans les Préfectures de Ouham Pendé (zone de Paoua), Haute Kotto (zone de Bria), Haut Mbomou (zones de Mboki et Zemio)
CONTEXTE ET ENJEUX DU POSTE
Secteur Nord Ouest : Préfecture de l’Ouham Pendé, Sub Préfecture de Paoua (60 des activités)
La Préfecture la plus touchée par le projet est celle de l’Ouham Pendé, située dans l’extrême nord ouest du pays, à la frontière avec le Tchad et le Cameroun. La Préfecture est composée de 3 sous préfectures : Paoua, Bocaranga et Bozoum ; elle est une des zones les plus peuplées de la Centrafrique (plus de 430.000 habitants (région la plus peuplée du pays) avec une densité moyenne de 13 habitants au km², et qui compte un effectif très élevé de population rurale estimée à 664.491 habitants soit 27% de la population rurale totale du pays. La situation sécuritaire semble s’être améliorée notamment dans l’Ouham Pendé, notamment dans la sous préfecture de Paoua, zone dans lesquelles plusieurs conflits armés entre groupe rebelles et armée régulière ont eu lieu dans la dernière décennie ; on observe de nombreux mouvements de retour dans les villages de personnes qui s’étaient préalablement déplacées dans la brousse ou même en dehors des frontières.
Les infrastructures de bases ont été fortement dégradées pendant cette période, et le retour à une stabilité mène à une reconstruction générale progressive des communautés, grâce aux efforts concertés des partenaires humanitaires, des bailleurs et des services étatiques. Dans cette dynamique, COOPI a accompagné les communautés dans leur relèvement avec le soutien à la reconstruction / réhabilitation des infrastructures scolaires et leur dotation en latrines, la formation des parents portés volontaires pour enseigner (maîtres parents), la dotation des écoles en matériel scolaire et le soutien aux communautés pour la gestion des écoles, réussissant à accroitre le taux de scolarisation d’environ 4.000 élèves à plus de 44.000 en remettant en marche, contre seulement 4 écoles opérationnelles dans la ville de Paoua à cette époque. Les interventions de COOPI comme des autres partenaires n’ont ciblé qu’une partie du territoire, en accord avec les priorités d’urgence, laissant l’accès aux infrastructures scolaires laissant un nombre important de population en dessous des standards minimum : effectifs pléthoriques dans les salles de classes (ratio 95/1, dans des espaces temporaires aux dimensions devant accueillir 30/1, taux net de scolarisation d’environ 30%, avec 18% de filles) manque de bâtiments scolaires, bas niveau qualitatif de l’enseignement et encore faible support communautaire au système éducatif locale.
En termes de services sanitaires, à part le support des acteurs humanitaires, les structures nationales montrent encore des capacités très limités en termes de disponibilité des structures, de personnel qualifié et des traitements. En 2006, la préfecture comptait environ 85 formations sanitaires (FOSA) publiques (dont 2 hôpitaux, 8 centres de santé et 75 postes de santé) dont la plus part sont endommagées et non opérationnelles depuis les conflits ; le service sanitaire actuel reste centralisé au niveau Sous Préfectorale avec l’hôpital de Paoua, de Bozoum et de Ngaoundaye avec un sérieux « gap » au niveau rural, où
l’absence des centres de santé expose fortement les communautés aux risques d’épidémies et à des haut taux de mortalité causés par le paludisme, les infections liées à l’utilisation de l’eau non potable et pendant ou après l’accouchement, faite, dans la majorité des cas sans aucun support médicale. On note donc un accès limité des ménages ruraux aux infrastructures sanitaires. Selon les normes requises (OMS), la distance à parcourir pour atteindre une formation doit se situer à moins de 5 km; dans cette région la distance à parcourir peut atteindre les 60km, ce qui vulnérabilise encore plus les enfants et les femmes.
Concernant les sources d’eau, la migration forcée des populations dans les zones plus internes, pendant la période de conflits et le conséquent abandon des villages, a causé une situation de détérioration précoce des sources d’approvisionnement d’eau potable, au niveau communautaire. Depuis la signature de l’accord de désarmement des groupes armés et les sensibilisations faites par les autorités au niveau local, en faveur du retour des communautés sur les axes routiers principales, les problèmes de fonctionnement des pompes d’eau manuelle sont devenu prioritaire. En effet, les flux de retour dans les villages d’origine sont continus et l’augmentation de la population est entrain de créer une situation de congestion et de cohabitation forcée dans les zones d’origine, désormais abandonnées et détruites pendant les événements.
Dans les zones plus éloignées des grand centres, l’absence des programmes de prévention ou des campagnes de sensibilisation en matière d’hygiène, santé, eau et assainissement augment encore plus les cas de contagions et de maladies au niveau communautaire.
Secteur Sud Est : Préfecture de l’Haut Mbomou, villes de Mboki et Zemio (25% des activités)
La Préfecture de la Haut Mbomou est située dans l’extrême sud-est du pays, à la frontière avec le Sud Soudan (province Western Equatoria) et la République Démocratique du Congo. La Préfecture est composé de 4 sous préfectures : Obo, Zemio, Djema et Bambouti, pour une population totale d’environ 67.000 habitants. La faible densité de la population a permit une équilibre entre communautés différentes (éleveurs, agriculteurs, chasseurs) dans les derniers années compte tenu de la vastité de la région et de la disponibilité et accès aux ressources. Depuis 2001 tous les localités de la région ont été affectés d’abord par les violences de la Soudan People Liberation Mouvement (SPLM) dans la zone frontalière entre Sud Soudan et RCA (afflux de 35.000 refugiés soudanais en RCA) et âpres de la Lord Resistance Army qui depuis 2008 (âpres l’attaque conjointe de UPDF et FRDC dans le parc de Garamba en Province Orientale) s’est fragmenté et dispersé dans les localités frontalières de RDC, Sud Soudan et RCA en perpétuant des attaques sur les villages et les déplacements des populations (en totale 18.000 IDPs et 5.000 refugiés).
La plupart des villes sont protégés en plus que par les forces centrafricaines, par un effectif des forces armées ougandaises et depuis la fin du 2011 par les forces armés Américaines, en support ; ceci permet de jouir d’une bonne sécurité en ville mais la sortie est interdite à cause des risques importants sur les axes routières. Donc les activités du projet se déroulent entièrement dans les rayons de sécurité assurée dans les trois centres villes.
Le projet cible les Sous Préfectures de Obo – ville de Mboki, et Zemio: la ville de Zemio avec la pourcentage plus élevé de communautés affectées par la LRA (10.000 personnes entre refugiés et déplacés sur 4 sites et une communauté hôtes de 9.800 habitants) représente aujourd’hui le centre de coordination des activités dans toute la sous région avec la présence de 3 ONG internationales et 2 agences onusiennes. La ville de Mboki, dans la Sous Préfecture de Obo est un centre économique et commerciale secondaire avec une forte concentration des communautés étrangers (population totale de 8500 personnes).
Avec la perpétuation des conflits armés dans le Haut Mbomou et les attaques des groupes armés rebelles transfrontaliers, les écoles qui fonctionnaient déjà péniblement avec peu de moyens avant les crises successives ont subi une nouvelle déstabilisation. La concentration des populations dans les villes d’Obo, Mboki et Zemio a forcé les populations hôtes et les systèmes de base peu appropriés à s’adapter à un contexte scolaire mouvant. Une des conséquences les plus graves de cette situation d’insécurité est que bon nombre d’enfants restent exclus du système scolaire, les capacités d’accueil déjà faible du système en période dite normale s’affaiblissent un peu plus, du fait du manque des infrastructures d’accueil pour les élèves. On observe environ 97 élèves par salle de classe où les classes sont accessibles, avec plus de 2 élèves par place disponibles. La faiblesse de la capacité d’accueil s’accompagne d’une détérioration de la qualité des services offerts, dû à la faiblesse des ressources allouées au secteur comparé aux besoins, en dépit des efforts de la communauté humanitaire; 102 élèves en moyenne par enseignant dans certaines écoles de cette région du pays, dont près de 90% sont des maîtres parents ; la moyenne de matériel est d’un livre pour 4 enfants pour certains et pas de livre du tout pour d’autres, plus de la moitié des élèves suivent les classes assis à même le sol et dans des bâtiments dans un état de délabrement avancé (murs à moitié effondrés et souvent sans toits) et sans latrines ni points d’eau.
Secteur Central : Préfecture de l’Haute Kotto, Municipalité de Bria (15% des activités)
La Préfecture de l’Haute Kotto est située dans le centre-est du pays, et elle est composé de 3 sous préfectures : Bria, Ouadda et Yalinga, pour une population totale d’environ 69500 habitants. La ville de Bria est la ville la plus peuplée dans la Préfecture, avec environ 45.200 habitants.
Le Nord Est de la RCA est sujet à une situation sécuritaire et humanitaire complexe, dans laquelle les mouvements armés rivaux centrafricains, les ex-rebelles de l'Union des forces démocratiques pour le rassemblement (UFDR) et les combattants de la Convention des patriotes pour la justice et la paix (CPJP) en conflit depuis plusieurs années notamment pour le contrôle du diamant, se livrent de violents combats dans la Vakaga et la Hautte Kotto. Du 10 au 18 septembre 2011 la CPJP (dont les membres sont en majorité de l'ethnie Rongha) et l'UFDR (composé en majorité de Goula) ont repris les combats dans la ville de Bria, principalement dans le quartier appelé Bornou, faisant plusieurs morts (environ trente) et entrainant la fuite des habitants vers les quartiers voisins (Gobolo et Kotto ville), la brousse et les villages et villes environnantes (Ippy, Bambari,Minghala). En réponse aux attaques dans le quartier Bornou, l'UFDR a mené des attaques dans le quartier Gbakoundji, fief des Rongha et par conséquent de la CPJP. A la suite de cet évènement, des négociations pour la réconciliation ont été entamées avec pour résultat la signature entre les deux groupes politico-militaires protagonistes d'un accord de cessez le feu le 9 octobre 2011 à Bangui, en présence des autorités gouvernementales et des représentants de la communauté humanitaire.
Quatre mois et 3 après les évènements mois après la signature du cessez le feu, et ceux malgré les engagements pris au niveau gouvernemental, les actions de désarmement n'ont pas encore été mis en place, et par conséquent les populations vivent encore dans la peur, bien que les retours dans les quartiers sinistrés soient importants ; les communautés affectées sont de plus en plus sceptiques par rapport à un retour de la paix, car on relève la présence des éléments de ces groupes rebelles dans la ville, officiellement venu pour s'approvisionner en aliment ; en outre, les armes continueraient à circuler à Bria.
Les déplacements entre Bria et les villages voisins où les populations ont leurs champs sont limités, ainsi que la circulation des biens et des personnes, ceci est dû à la présence des barrières de rebelles dans la majorité des axes principaux conduisant à la Bria (excepté l'axe Bria-Bambari).
Les affrontements ont causé le déplacement d’un environ de 6000 personnes vers la ville. A cause des affrontements plusieurs bâtiments (parmi eux scolaires et sanitaires) ont subi des dommages, et nécessitent réhabilitation. Le système scolaire, déjà faibles à niveau national soit pour ce qui concerne l’accès, que dans la qualité des infrastructures et de l’enseignement et l’accueil des enfants dans un environnement adéquat à leurs besoins et droits, souffre dans les zones de conflits et de déplacement du stress supplémentaire, a cause des fréquents endommagements et de la concentration démographique. Dans cette zone aussi les bâtiments sont souvent semi-dur, et donc construite en briques et paille, souvent ouverts et sans aucun service hygiénique, ni accès aux sources d’eau proches.
Descrizione e requisiti
Responsabilités
Objectif général :
Sous la direction du chef projet et en étroite collaboration avec le coordinateur pays de la logistique (responsable fonctionnel), assurer le bon déroulement des activités de construction/réhabilitation des infrastructures en
Gérant le système d’achat, stockage, transport et distribution aux sites de construction du matériel requis, en respectant le planning opérationnel définit et les procédures en vigueur, en coordination avec le coordonateur du projet et l’ingénier expatrié.
Responsabilités :
1) Logistique – Achats et transport
— Assurer la mise en place d’un système d’approvisionnement des matériaux et/ou des équipements, achat/livraison/transport en accord avec les procédures logistiques de COOPI RCA et du bailleur de fond ;
— Garantir la conformité des contrats d’achat/livraison et transport aux standards requis par le programme d’intervention et en respectant les indications remises par le responsable technique aux travaux de construction/réhabilitation, en termes de qualité, quantité, dates de livraison et typologie;
— Garantir le respect des normes et des standards internationaux en matière d’achat et de conditions de transport dans le saisi des contrats ;
— Garantir collaboration et coordination avec le Coordinateur de la Logistique de COOPI RCA en termes de procédures et des plans de travail.
2) Activités de construction/réhabilitation
— Garantir la gestion et la supervision des activités à réaliser dans le volet WASH, identification et réhabilitation des pompes de l’eau manuelles au niveau communautaire, en terme de planification, approvisionnement des pièces de rechange, transport et finalisation des travaux de réparation en respectant le chronogramme générale du projet ;
— Vérifier, en collaboration avec le Chef de Projet et la Coordination Logistique, la disponibilité et l’arrivé dans les chantiers de tous matériels pour la construction des infrastructures en respectant les temps prévus par le chronogramme des activités de construction/réhabilitation;
— Assurer l’élaboration et l’archivage de la documentation requise par les procédures COOPI RCA et par le bailleur, en matière de construction et réhabilitation.
— Garantir la remise des rapports concernant les activités de construction/réhabilitation réalisées pour les aspects de relatifs au secteur logistique en respectant les lignes fixées par la Coordination Logistique ;
— Assurer l’entretien continue des bases ciblées par l’intervention en termes de l’adéquat fonctionnement des équipements disponibles et des structures mises à disposition pour le déroulement des activités.
3) Logistique : gestion des matériaux et des équipements
— Garantir les conditions de stockage optimales aux matériaux/équipements livrés ;
— Garantir la conformité de la gestion logistique dans toutes les bases ciblées par le projet avec les procédures et les standards fixés par la Coordination Logistique de COOPI RCA ;
— Assurer l’approvisionnement continue des bases ciblées par le projet en termes des matériels et/ou équipements requis par le propre et ponctuel déroulement des activités en accord avec le chronogramme générale du projet ;
4) Gestion de l’équipe nationale
— Participer, si requis, au recrutement de l’équipe de logisticiens nationaux et à leur formation sur les procédures logistiques de COOPI RCA en collaboration avec le Bureau des Ressources Humaines ;
— Garantir la supervision continue du personnel logistique nationale pour assurer le respect des procédures COOPI RCA dans les cadres de l’achat, livraison, stockage et gestion des matériels et/ou des équipements avec une attention particulière à la tenue et à la propre compilation des cahiers de magasin, des fiches d’entrée, sortie, de stock et de toutes les autres fiches établies par les procédures de la logistique de COOPI RCA;
5) Sécurité
— Garantir le respect des procédures de COOPI RCA en matière de sécurité par l’équipe expatriée et nationale ;
— Assurer la mise en place de procédures extraordinaires, en collaboration avec la Coordination Logistique de COOPI RCA, en cas d’événements et/ou de changements, dans le cadre sécuritaire, au niveau locale ;
Rapports de dépendance
— Il répond au Chef de Mission pour toutes questions liées aux responsabilités propres de sa position ;
— Il répond au Responsable de la Logistique pour le respect des procédures COOPI et du bailleur des fonds, et pour la coordination des activités dans les différentes bases ;
— Il répond au Chef de Projet pour le respect des normes de sécurité dans les bases ;
— Il répond au Chef de projet pour l’exécution optimale des activités de construction et réhabilitation planifiés et pour la qualité de l’exécution
— Il se coordonne avec le Chef de projet pour la planification de l’exécution des travaux, en accord avec le chronogramme des activités et le budget ;
— Il se coordonne avec l’administrateur pour la planification des ressources financières nécessaires à l’exécution des travaux ;
— Il supervise et coordonne l’activité des logisticiens locaux dans la gestion quotidienne des matériels de construction.
Expérience requise
— Au moins 1 an d’expérience professionnelle dans la construction/réhabilitation des pompes d’eau.
— Expérience avec projets de construction ;
— Excellente métrise de la langue française ;
— Esprit dynamique et adaptable à condition de vie difficiles et mouvements fréquents.
LE COOPERANT COOPI
COOPI intervient dans des situations de développement et de crises souvent défavorisées et difficiles à gérer.
Le coopérant COOPI doit prendre la bonne décision au bon moment.
Il sait lire et interpréter le contexte dans lequel il agit et qui se transforme souvent très rapidement. Il est capable de respecter les valeurs de l’ONG , d’établir relations positives avec ses supérieurs, ses collègues et collaborateurs.
Le coopérant COOPI travaille habituellement dans des contextes multiethniques, ce qui exige de la souplesse et le respect de l’autre, expatrié et personnel local.
En considération du milieu souvent défavorisé et du pois des responsabilités, il faut posséder une réelle motivation, énergie et une grande flexibilité, disponibilité pour aller parfois au-delà de ses propres tâches selon les besoins de la mission, en utilisant l’ expériences,l’ enthousiasme et l’esprit d’équipe.
Deadline : as soon as possible
En raison de la nature du travail et de la complexité de l’environnement dans lequel le poste évolue, on demande à l’expatrié collaboration, adaptation et flexibilité. La révision des tâches et responsabilités sera effectuée après discussion avec le représentant responsable COOPI.